Le public de s'y est pas trompé hier soir en venant en nombre (30 000 fans) assister au match de l'idole des foules, le grand Popov.
Les nains rentrent remontés à bloc et c'est avec l'oeil du tigre qu'ils entonnent leur hymne face aux orques refusant de tenir le regard !
Les commentateurs restent ébahis ... les vils nains ont sortis leurs armes secrètes des grands soirs : un roule mort, un bombardier et un ... oui c'est bien un ... oh mon dieu ... même le coach a une arme secrète ... Un Marteau
...
Fin du match, les spectateurs en ont eu pour leurs pièces d'or et filent s'acheter des maillots, des écharpes aux effigies des deux équipes. Chaque coach est heureux de ce match animé et c'est dans une troisième mi temps cordiale qu'ils refont le match.
Tout en sirotant une petite Blooddweiser fraiche, une clameur résonne, un chant populaire est né spontanément dans les abords du stade et on entend jusqu'ici ...
Il avait un marteau
Et il cognait le jour
Et il cognait la nuit
Il mettait tout son cœur
Il le tenait bien ferme
Avec ses gardes et ses châtaignes
Et il sortait son troll
son lanceur, son trois quart son blitzeur
Oh oh, oui c'était le bonheur
(allez tous avec moi), oh oh oh oh (X4)
Il avait un agile
Il esquivait le jour
Il esquivait la nuit
Il mettait tout son cœur,
La samba chez les nains
Les flashs sur les coureurs
Complémentaire avec son frère
Main de dieu, boosté sur le lanceur
Oh oh, oui c'était le bonheur
(allez tous avec moi), oh oh oh oh (X4)
C'est le marteau du courage
C'est l'agile de la liberté
Mais cet hymne c'est pour Popov
Croco, le roule mort, les blitzeurs
Oh oh, pour moi c'est le bonheur
C'est ça le vrai bonheur
Il avait un marteau x2